Capteur géothermique- pourquoi faire?
En hiver:… Pré-chauffage de l’air et protection hors gel
Les VMC (ventilation mécanique contrôlée) à double flux, avec récupération efficiente de chaleur pourraient, en cas de température d’air extérieure très basse (par ex. -10°C), refroidir théoriquement l’air chaud extrait de la maison bien en dessous du point de congélation. Dans ce cas non seulement la vapeur d’eau contenue dans l’air d’extraction de la VMC se condenserait dans l’échangeur en eau, mais gèlerait en formant des glaçons. De ce fait l’échangeur pourra se boucher et casser. Pour éviter cela il y a lieu de s’assurer, dans l’utilisation de récupérateurs de chaleur à haut rendement, que l’air extérieur d’admission soit réchauffé, selon rendement de l’échangeur, à une température supérieure à environ -4°C ( par ex.. 80% de rendement) ou à +1°C ( par ex. 99% de rendement).
La terre est chaude dans 1,5 à 3 m de profondeur dans l’hiver froid entre +5 et +8 ° C. Un échangeur de chaleur eau glycolée-air enlève son suffisamment de chaleur pour préchauffer l’air extérieur très froid suffisant. Celui-ci déplacé une ligne de saumure dans la terre et construit un échangeur de chaleur eau glycolée-spéciale de l’air dans l’admission d’air extérieur. Dans ce la chaleur de la saumure est transférée à l’air qui passe. Dans la ligne de la saumure, une pompe est installée. Pour contrôler l’ensemble il ya un régulateur de température contrôlée variables pompe à saumure.
Un préchauffage de l’air d’admission aura ainsi un sens, si les VMC disposent d’une soi-disant protection antigel intégrée, dans la mesure ou celle-ci n’est qu’une coupure volontaire ou étranglement/ralentissement du ventilateur d’admission d’air. Dans ce cas de figure il n’y a que l’extraction d’air qui est activée et par laquelle la VMC reste bien chaude ( protection anti – gel). Mais il n’y a que peu ou pas du tout d’air d’admission qui est insufflé et réchauffé. La récupération de chaleur est ainsi réduite ou inexistante. En plus la maison est alors mise en dépression et comblera son manque d’air d’admission qu’à travers des fissures ou jointures de l’enveloppe de la construction. Ce n’est pas ce qui est souhaitable par un hiver froid. Un préchauffage hivernal de l’air d’admission, avec un capteur géothermique enterré, permet par contre d’obtenir, justement par hivers très froids, un rendement maximum de la VMC et une aération équilibrée.
En plein été: Pré-refroidissement de l’air, pour le confort estival.
Par chaudes journées d’été on aspire d’avoir une maison fraîche. Comment cependant éviter la surchauffe? Bien entendu en faisant d’abord de sorte que l’air chaud extérieur ne pénètre pas dans la maison. Ensuite en isolant de la chaleur, en occultant les fenêtres et en maintenant bien fermé fenêtres, portes fenêtres et portes, par temps de chaleur, de façon a ce que la cuvette d’air frais ne puisse s’écouler au niveau du sol vers l’extérieur.
Au cas ou ces dispositions ne suffiraient pas on peut , si l’on dispose d’une VMC, introduire de l’air frais tout en évacuant l’air chaud. Mais si l’on souhaite se passer d’un climatiseur et de sa consommation d’électricité, il est préférable d’utiliser l’énergie géothermique. En effet, entre 1 et 3 mètres de profondeur, la terre est sensiblement plus froide que l’air extérieur. Elle peut donc fournir gratuitement du froid, respectivement et précisément capter de la „chaleur“. Par conséquent les capteurs à eau glycolée netec sont aussi adaptés pour l’été.
Conclusion: …Utile en hiver et en été
Un capteur géothermique enterré netec pourra préchauffer en hiver de l’air d’admission à température négative et en été rafraîchir cet air d’admission. Il améliore en hiver le rendement de la VMC en récupérant de la chaleur et en été le confort des occupants. Systèmes netec sont installé dans de nombreuses maisons passives et d’autres bâtiments avec des systèmes de ventilation efficace.
=> version courte d’une description du système
Ne peut-on pas préchauffer l’air plus simplement ?
Le préchauffage de l’air, pour protéger en hiver les performantes VMC, peut être réalisé sans utilisation de la géothermie. Les alternatives à la géothermie peuvent être le préchauffage de l’air par résistances électriques ou échangeur à eau chaude de chaudière, implantés dans la gaine d’admission d’air. Nous présentons ci-dessous ce que nous en pensons.
Les pré chauffeurs électriques d’air sont techniquement très simples, y compris leurs protections telles que sécurité de surchauffe et contrôle du débit d’air, mais néanmoins pas bon marché. L’électricité est l’énergie la plus chère et consomme le plus d’énergie primaire. La régulation de beaucoup de pré chauffeurs électriques est très imprécise causant par là une surchauffe de l’air d’admission. Cela provoque une consommation excessive de courant, minimise l’effet de récupération de chaleur et s’effectue particulièrement avec les régulateurs » tout ou rien « . Au contact des résistances électriques chauffées au rouge, les particules de poussière peuvent carboniser, ce qui peut conduire à la formation d’odeurs typique de brûlé de « l’air frais « . Et les pré chauffeurs électriques à air conviennent seulement pour la protection anti-gel hivernale. Un rafraîchissement estival de l’air chaud n’est pas possible avec eux.
Les pré chauffeurs d’air à eau chaude pour l’air d’admission, qui
sont alimentés par le circuit eau chaude de la chaudière, requièrent une
installation plus conséquente.
En revanche l’air chaud d’une chaudière gaz est meilleur marché que
l’électricité et plus favorable quant à l’énergie primaire.Sa régulation
s’effectue souvent avec une vanne thermostatique hors gel, du circuit
eau chaude, laquelle contrôle le débit d’eau. Ces vannes thermostatiques
régulent souvent de façon peu précise, ce qui induit un préchauffage
trop fort de l’air d’admission avec consommation inutile de gaz et
minoration de l’effet de récupération de chaleur comme corollaire.
Selon le type d’installation de chauffage il peut être nécessaire
d’entreprendre des modifications complexes de la régulation de la pompe
du circuit d’eau chaude. L’eau chaude, de protection hors gel, devra
notamment être en circulation quand le chauffage de la maison est
réduit, ou coupé la nuit, ou si le circuit de chauffage est coupé le
temps du chargement du réservoir eau chaude.
Le problème principal des pré chauffeurs d’air à eau chaude consiste qu’ils risquent de geler en cas de panne quand par exemple la pompe de circulation du chauffage s’arrête ou tombe en panne et que la ventilation continue de fonctionner, ou si le circuit d’eau chaude passant dans l’échangeur ne contient pas d’anti-gel. A ce moment l’échangeur de préchauffage peut éclater, le circuit d’eau chaude se vider et toute l’installation de chauffage central s’arrêter. Bien entendu il y a la possibilité d’installer un circuit spécifique qui contient de l’eau glycolée, ou remplir avec de l’eau glycolée le circuit complet du chauffage. Mais cela nécessitera beaucoup de dépenses. Par ailleurs un échangeur de préchauffage à eau chaude, comme source de chaleur, ne pourra pas en été rafraîchir de l’air d’admission trop chaud.